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Avoir mal au genou, d'où ça vient ?
Les genoux sont les articulations sur lesquelles on s'agenouille, on s'abandonne à la hiérarchie normale ou à ce qui est au-dessus de soi et aussi au mouvement et à la direction qui prennent place.
Lorsque nous marchons, les genoux entraînent tout le corps dans le mouvement. Les genoux manifestent donc le degré de flexibilité et servent à amortir les chocs quand la pression est trop forte.
Ils représentent aussi le degré de persévérance mais également d'indécision. Ils seront affectés si on se dévalorise par rapport à son physique ou ses performances sportives. Si on a de la difficulté à plier les genoux, cela démontre une certaine rigidité.
Cela peut venir de l'ego qui est très fort et qui est orgueilleux. La personne a peur de perdre sa liberté, un genou qui plie facilement est un signe d'humilité et de flexibilité, cela indique la facilité à écouter sa voix intérieure.
Les genoux sont nécessaires pour maintenir la position sociale et le statut. De bons genoux indiquent qu'on est ouvert à son entourage et aux changements.
Genou gauche => relié au père, au masculin, au yang, à la partie masculine de la personne,
Genou droit => relié à la mère, au féminin, au yin, à la partie féminine de la personne.
Les dommages osseux ou des tissus mous sont reliés à un profond conflit intérieur et impliquent l'abandon, à un niveau plus profond l'abandon de l'ego.
Un malaise aux genoux parle de la difficulté à faire un choix entre l'individualité (JE) et celui d'un groupe (NOUS).
Ce peut être la personne face à son couple, sa famille, son cercle d'amis, une organisation religieuse, sociale ou politique, ou les deux parties d'elle (féminin, masculin).
Lorsque les ménisques (formés de fibres et de cartilage, un à l'intérieur et l'autre à l'extérieur du genou) sont touchés, il y a une dualité intérieure qui rend nerveux et tendu. La personne se retrouve souvent prise entre deux feux. Elle se cramponne tellement à quelque chose, quelqu'un ou à ce que les autres peuvent penser d'elle que cela l'empêche d'avancer.
Si il y a déchirure, la personne est rigide, n'arrive pas à s'adapter ou à se soumettre à une situation, aux autres ou à l'autorité.
Une usure prématurée montre que la personne préfère rompre plutôt que s'adapter.
Un malaise à un ménisque signifie que la personne dépends des autres dans certaines situations, car elle n'a pas confiance en elle, elle se plie aux exigences des autres, la moindre tension affecte ses ménisques. Elle a l'habitude d'être le conciliateur, d'arranger les choses pour que l'harmonie règne ou que les disputes se règlent à l'amiable. Si elle pense avoir échoué dans ce rôle d'intermédiaire, ses ménisques vont réagir.
La dislocation du genou montre un déséquilibre face à une personne ou une situation et le genou ne peut plus soutenir le poids du corps.
Les genoux qui flanchent montrent combien la personne est influençable et qu'elle a peu de confiance et de conviction.
Quel que soit le malaise au genoux, il faut se demander devant qui ou quoi on a l'impression de devoir abdiquer.
Ce peut être face à une autorité extérieure, face à la vie qui paraît trop lourde, le poids des responsabilités, le fait de devoir assumer des paroles et actes quand cela demande un effort, le fait de vivre un échec face à un grand rêve ou ambition.
Quand les genoux craquent, en général la personne est perfectionniste ou se donne beaucoup de mal pour s'investir dans quelque chose qui lui met la pression, elle peut être déçue de ne pas réussir comme elle le pensait.
Dans le cas de l'hydroma qui affecte particulièrement les religieuses ou les gens pour qui la religion prend une grande place, on doit se demander quel conflit on vit par rapport à la spiritualité et les implications qui en découlent dans la vie. La douleur qui est ressentie chaque fois que la personne se met à genoux (pour prier par exemple) rappelle le conflit intérieur et le besoin de décider par elle-même. Cela peut même aller jusqu'à un déchirement spirituel. Les émotions ne sont pas exprimées.
Une bosse au genou est une altération tissulaire qui est palpable. Elle est comme une explosion du corps qui crie en la personne, tel un oeuf qui veut éclore et qu'on ne peux plus repousser. La personne a besoin de s'exprimer, de clarifier une situation par rapport à un groupe de personnes, à l'autorité.
Elle vit dans une dualité entre ce qui existe et ce qu'elle veut exprimer, tout ce qui est retenu peut exploser sous forme de bosse.
La luxation du genou survient en général à la suite d'un coup, d'un choc, d'un mouvement forcé. Quand on a une luxation au genou on doit se demander ce qui nous donne l'impression de se faire mettre en boîte (toujours rapport à la dualité intérieure ou à un groupe, autorité etc). La personne veut s'échapper, se dégager d'une obligation mais elle se sent forcée à vivre la situation. C'est comme si elle portait une camisole de force et qu'elle essayait de toutes ses forces de s'en défaire. Le corps à ainsi réagi à l'inverse en assumant le contrecoup émotionnel. La personne se demande si elle a sa place dans ce monde."
